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Les dernières mises à jour des textes accompagnant les timbres effectuées en date du 4 septembre 2019

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Un peu d’histoire
L’année 2019 marque un double anniversaire pour l’Opéra national de Paris : les 350 ans de l’institution et les 30 ans de l’Opéra Bastille.

Le 28 juin 1669, le roi Louis XIV signait à Saint-Germain-en-Laye les lettres patentes autorisant le poète Pierre Perrin à établir une académie d’opéra pour proposer au public des représentations en musique et en langue française, qui allait devenir quelques années plus tard, en 1672, l’Académie royale de musique.
Par cet acte, le roi voulait contribuer à son divertissement personnel et à celui du public, accueillir des artistes de tous les pays pour transmettre le goût du théâtre, de la danse et de la musique. Louis XIV léguait ainsi à la France une institution exceptionnelle qui posait les fondements de l’opéra français. D’abord installé salle du Jeu de paume de la Bouteille, l’Opéra devait occuper plusieurs salles à travers les siècles, jusqu’à celle conçue par Charles Garnier et inaugurée en 1875 : le Palais Garnier, place de l’Opéra.

Le 13 juillet 1989, pour le bicentenaire de la Révolution française, au coeur du quartier de la Bastille, le président François Mitterrand inaugurait le deuxième théâtre souhaité pour l’Opéra de Paris, « une maison ouverte à tous les publics », un « Opéra populaire » comme on le surnommait alors. Quel que soit l’emplacement des 2 700 spectateurs, la visibilité et la qualité d’écoute se veulent optimales. Le théâtre, imaginé par Carlos Ott, dispose d’un gigantesque espace en arrière-scène et d’un imposant dispositif technique qui en font un des outils de travail parmi les plus performants dans le monde de l’opéra.

Aujourd’hui, l’Opéra national de Paris est dépositaire d’un large patrimoine : musique, ballet, chant et artisanat d’art pour servir la fabrique du spectacle. Sa mission est de faire vivre cet héritage tout en le questionnant afin de susciter un dialogue propice à la création. La 3e Scène, plateforme de création digitale inaugurée en 2015, est une des illustrations de l’énergie mise en oeuvre pour ancrer l’Opéra national de Paris dans le présent et prolonger son rayonnement.
© La Poste - Opéra national de Paris -Tous droits réservés
D’après le communiqué de presse de Phil@Poste 
Mis à jour le 04/09/2019 à 16h34
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trait gris
Un peu d’histoire
Les hirondelles, qui appartiennent à la famille des hirundinidés, ont une silhouette élégante avec leur cou peu marqué et leur tête arrondie. Leurs ailes très longues et pointues, leur queue bien développée leur donnent en vol un profil aérodynamique bien utile pour leurs migrations saisonnières. Deux fois par an, en effet, elles parcourent un incroyable trajet de sept à dix mille kilomètres, avec pour seul carburant la réserve de graisse qu’elles ont constituée avant de partir.
Après un long hivernage en Afrique, où elles ont pu s’alimenter abondamment en insectes volants, les hirondelles prennent la direction de l’Europe pour se reproduire. À peine arrivées, les hirondelles se mettent au travail pour construire des nids maçonnés à l’aide d’un mélange de boue, de salive et de quelques brindilles qu’elles fixent aux murs et aux poutres des bâtiments agricoles, des granges et des garages ; ils seront réparés et réutilisés d’année en année, la plupart du temps sous l’œil bienveillant des propriétaires des lieux.

Le mâle et la femelle se relaient pour nourrir leurs oisillons, chassant en vol des insectes qu’ils compriment et stockent dans leur gorge avant de les apporter à leur progéniture, accomplissant parfois 400 allées et venues par jour ! Au menu de chaque becquée : une vingtaine de fourmis volantes, mouches, libellules, etc.
Dès que les hirondeaux sont autonomes, les préparatifs pour la prochaine migration commencent. Bientôt la température descendra en-dessous de 10 °C et, les insectes venant à manquer, il faudra retrouver le chemin de l’Afrique. Alors, un jour d’automne, obéissant à un signal mystérieux, les hirondelles repartiront, pour mieux nous revenir au prochain printemps.
Quelques mots de l’artiste…
Dans une composition tricolore, Tatsuya Oka, artiste japonais, a choisi de symboliser les éclats de soleil de fin de printemps et de début d’été, les vols pleins de vie et d’énergie des hirondelles, au travers d’un style graphique inspiré des origamis.
Le concours du plus beau timbre PostEurop
Le site POSTEUROP pour élire le plus beau timbre Europa 2019 est accessible à compter du 9 mai 2019 : www.posteurop.org/europa2019
© La Poste - Tous droits réservés
D’après le communiqué de presse de Phil@Poste 
Mis à jour le 04/09/2019 à 12h40
Lister les 20 dernières mises à jour des textes accompagnant les timbres


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