![]() |
![]() |
Accueil | Années | Annuaire | Articles |
Artistes | Calendriers | Lexique | Oblitérations | ||
Recherches | Séries-thèmes | Tarifs postaux | Timbres |
|
Wercollier - Luxembourg
|
Premier jour le Samedi
à Strasbourg
Vente générale le Lundi 22 janvier 1996
Retiré de la vente le Vendredi
Valeur faciale : 6,70 F
Voir les tarifs au 22 janvier 1996
Affranchissement de la lettre 3ème échelon de poids pour la zone 1
Timbre horizontal Dentelure
![]()
Perforation permettant la séparation facile des timbres entre eux.
Deux timbres identiques peuvent avoir des dentelures différentes, donc des cotes différentes.
La dentelure est un chiffre qui indique le nombre de dents tous les 2 centimètres. Une dentelure 13 veut dire que le timbre comporte 13 dents tous les 2 cm. Certains timbres ont des dentelures différentes sur les bords horizontaux et verticaux, dans ce cas le 1er chiffre indique la dentelure horizontale, le second la verticale. La dentelure se mesure avec un odontomètre. Format imageLe format d'un timbre est en fait celui de son image, à l'exclusion des marges. Le format s'exprime en millimètres sous la forme habituelle largeur x hauteur. Avec l'apparition récente des timbres sans marges, souvent issus de blocs-feuillets, cette notion de format perd un peu de son sens. La Poste utilise maintenant le format complet ou hors-tout, c'est à dire marges éventuelles et dentelures comprises. : 48x36,85 mm
CouleursLes couleurs indiquées ici sont celles habituellement précisées par le catalogue Marianne,
toutefois la reproduction de la couleur est ici doublement altérée: d´abord par le scanneur
qui déforme un peu les couleurs, puis par votre propre écran d´ordinateur qui ne restitue
pas fidèlement la couleur initiale de l´image.
Certains écrans offrent la possibilité de régler les couleurs (luminosité, contraste, facteur gamma, etc.) Pour une bonne approche des couleurs des timbres se référer à l´ouvrage«Timbres de France - Couleurs et nuances» par G. Bermejo et J.F. Brun Sur ce site vous avez, entre autres, la possibilité de lancer une recherche par couleurs de timbres : noir rouge et bleu
Imprimé en héliogravure
à 30 timbres par feuille, bloc ou carnet
Émis à 6,165 millions d´exemplaires - voir les tirages de 1996
Le timbre à date
Cliquez sur une image pour zoomer
Née en 1908 à Luxembourg, le sculpteur Lucien Wercollier a bénéficié d'une formation académique extrêmement poussée. Il est tout d'abord élève à l'Académie des beaux-arts de Bruxelles, puis se rend à Paris où il suit les cours de l'Ecole nationale des Beaux -Arts. Ses premiers travaux sont d'inspiration naturalistes et témoignent des influences successives d'Aristide Maillol et d'Henri Laurens. Peu à peu et comme nombre de sculpteurs de sa génération, il abandonne la représentation objective au profit d'une plus grande stylisation des formes. A partir de 1950, bien qu'il s'inspire toujours d'une réalité concrète, le plus souvent un nu féminin, ses formes tendent vers l'abstraction au point de sembler devenir des élément de plastique pure. Après avoir participé en 1951, au Salon de mai à Paris, il exécute plusieurs décorations sculpturales pour le pavillon luxembourgeois de l'exposition universelle de Bruxelles en 1958. La même année, il expose à titre personnel et pour la première fois ses œuvre abstraites à la galerie Saint- Augustin à Paris. Qu'il choisisse de s'exprimer par le bronze, qu'il travaille le marbre ou l'albâtre, qu'il trace dans l'espace d'une feuille blanche, un ensemble de lignes multicolores qui se croisent et se répondent, Lucien Wercollier semble avoir presque banni de son vocabulaire formel, les raideurs de la ligne comme les cassures provoquées par angle droit. Refusant tout expressionnisme ostentatoire, sans grandiloquence excessive et sans tapage, l'artiste s'attache essentiellement à mettre en évidence l'élégance achevée et la souplesse sensuelle de courbes organiques susceptibles de se pénétrer les unes les autres et de dialoguer entre elles. Par ailleurs, la perfection du bronze poli à l'extrême et les effets colorés susceptibles de se dégager d'une masse de pierre choisie avec le plus grand soin, permettent au sculpteur d'ajouter à cet échange subtil qu'il sait instaurer entre sa visions et les formes qui en émergent, toute une gamme de vibrations sensibles dues aux jeux de la lumière remarquablement dosée. Dʹaprès Phil@Poste
|
|