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Les dernières mises à jour des textes accompagnant les timbres effectuées en date du 1er juin 2020

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Mis à jour le 01/06/2020 à 19h56
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Un peu d’histoire
Communément appelée « la petite Carcassonne lorraine », Rodemack, cité médiévale, se trouve au coeur du Pays des Trois Frontières, à proximité du Luxembourg et de l’Allemagne.
Au XIIe siècle, les seigneurs de Rodemack, vassaux du comte de Luxembourg, en firent une place forte. En 1492, Bernard, le dernier seigneur de Rodemack, fut dépossédé de toutes ses terres pour cause de félonie – on lui reprochait de s’être allié aux Français – au profit des margraves de Bade. Les Français occupent définitivement Rodemack en 1678. Par sa situation, Rodemack est au carrefour des conflits jusqu’à la Seconde Guerre mondiale.
Au pied de l’imposante citadelle se blottit le bourg entouré de 700 mètres de remparts du XIVe siècle, percés de meurtrières et ponctués de tours rondes. C’est par la magnifique porte de Sierck que l’on pénètre dans le village. Cette porte, défendue par deux tours rondes, était nommée autrefois « porte de la Franchise ». À l’intérieur, le long des ruelles pavées, on découvre un beau patrimoine architectural qui caractérise bien l’habitat lorrain.
La rénovation de ce patrimoine a débuté en 1978 et se poursuit actuellement grâce, notamment, aux efforts consentis par l’association des « Amis des vieilles pierres pour la sauvegarde de Rodemack » et la Communauté de communes de Cattenom et environs.
Chaque année, le dernier week-end de juin, Rodemack devient « Cité médiévale en fête » : chevaliers, troubadours, cracheurs de feu, tournoi chevaleresque, vieux métiers, marché médiéval transportent les milliers de visiteurs dans le passé en leur offrant un aperçu de la vie au Moyen Âge.
C’est en 1977 que Rodemack acquiert le label de « Village de France », pour devenir en 1987 membre à part entière de l’association des « Plus Beaux Villages de France ». Son jardin médiéval a obtenu en 1996 le prix national de la Fondation Henry Ford.
© - La Poste - Pascal Rith -Tous droits réservés
D’après le communiqué de presse de Phil@Poste 
Mis à jour le 01/06/2020 à 14h03
Dernière  MàJ
Le timbre est illustré par le parcours du GR® 20, qui va de Calenzana à Conça. Sur les contours du bloc, des éléments caractéristiques que l’on découvre en randonnant sur le sentier, que ce soit les aiguilles de Bavella rougeoyantes sous le soleil couchant, la passerelle de Spasimata suspendue à 15 mètres au-dessus de la rivière et longue de 31 mètres, vertigineuse ! Et les étonnantes pozzines du plateau du Coscione qui donnent l’illusion de voir des morceaux de pelouse flotter sur une étendue d’eau. Elles font le bonheur des chevaux et cochons sauvages ! On découvre également au détour du chemin, le sorbier des oiseleurs et le crocus.
trait
Un peu d’histoire
L’aventure commence par l’épreuve du sac à dos. Car, avant de se lancer à l’assaut des 180 km du mythique GR® 20 corse, le randonneur a tout intérêt à se délester des poids inutiles ! Que l’on choisisse comme point de départ Calenzana au nord ou Conca au sud, ce sentier est à la hauteur de sa réputation : difficile, certes, mais d’une beauté saisissante. L’itinéraire – compter seize jours de marche – emprunté par plus de vingt mille randonneurs par an traverse la Corse en diagonale, l’étape médiane étant Vizzavona.
Le GR® 20 a été tracé en 1970 dans la continuité de la création du parc naturel régional de Corse, qui en assure aujourd’hui l’entretien, sous l’action conjuguée d’un ingénieur des forêts, Guy Degos, et d’un alpiniste, Michel Fabrikant. D’abord réservé à des sportifs avertis, il s’est peu à peu équipé de points d’eau et de ravitaillement, multipliant les aires de bivouac dans les bergeries ou de halte dans les refuges, comme celui de Pietra Piana, le premier à voir le jour en 1971. Le fameux balisage de bandes rouges et blanches du GR® 20 réserve bien des surprises : sensation forte sur la fameuse passerelle de Spasimata suspendue à 15 m au-dessus du vide, choc visuel des sept pics déchiquetés des aiguilles de Bavella, magie verdoyante du plateau du Coscione, dont l’herbe grasse fait la joie des cochons sauvages, vues imprenables sur la mer…
Les cols s’enchaînent, on longe les lignes de crêtes, on plonge avec reconnaissance dans un lac, on vit au rythme des somptueux levers et couchers de soleil, récompense journalière du randonneur. Que l’on marche sept heures par jour ou que l’on opte pour quelques étapes seulement, ce chemin légendaire « Fra li monti » (à travers les montagnes) se livre petit à petit et envoûte. Le GR® 20 tient toujours sa promesse : celle d’une expérience inoubliable.
© - La Poste - Fabienne Azire - Tous droits réservés
D’après le communiqué de presse de Phil@Poste 
Mis à jour le 01/06/2020 à 12h32
Dernière  MàJ
Nicolas APPERT est né le 17 novembre 1749 à Chalons-sur-Marne (Marne), mort le 1er juin 1841 à Massy (Essonne)
La ville de Nantes et toute son agglomération, où les cultures maraîchères sont très importantes, doivent une grande partie de leur prospérité aux travaux de Nicolas Appert, inventeur des conserves alimentaires. Des rues et un lycée en témoignent encore.
Mis à jour le 01/06/2020 à 11h54
Lister les 20 dernières mises à jour des textes accompagnant les timbres


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