Ce timbre a valu la discrâce (très passagère) de Pierre Gandon à la Libération et qui le déposséda de son timbre sur
Sarah Bernhardt qui fut signé par Mazelin.
Ce timbre était une vraie propagande pour la création de cette légion destinée à se subsitituer à la
Légion des Volontaires Français (LVF) qui s'engagèrent auprès des armées allemandes pour lutter sur le front de l'est contre l'URSS.