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Les dernières mises à jour des textes accompagnant les timbres effectuées en date du 16 mars 2023

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Un peu d’histoire
Fondée en 1945 sur les décombres de la Seconde Guerre mondiale, l’ONU aspire à libérer le monde de la peur et de la barbarie en remplaçant le régime du droit du plus fort par celui de la force du droit. Pour ce faire, les Nations Unies décident de rédiger un texte de référence qui formera « l’idéal commun à atteindre par tous les peuples et toutes les nations ». Un comité de rédaction est formé, sous la présidence d’Eleanor Roosevelt, composé de 18 membres dont le Français René Cassin, juriste et résistant, ancien délégué français à la SDN et futur prix Nobel de la paix. Le 10 décembre 1948, les 30 articles de la Déclaration universelle des droits de l’homme sont présentés à Paris, au palais de Chaillot. En précisant que « les hommes naissent libres et égaux en dignité et en droits », l’article 1er s’inspire directement de son illustre devancière, la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789. Lui succèdent le droit à la liberté, l’interdiction de l’esclavage, de la torture, de l’arrestation arbitraire, la liberté de pensée, de culte, de circulation, le droit au travail, à l’éducation, etc. Mais la force de ces principes est limitée : bien que présentée comme le fondement de l’oeuvre législative de l’ONU, cette déclaration demeure symbolique car elle n’a pas de valeur juridique. Inspirant ensuite une Déclaration des droits de l’enfant (1959) et un Pacte international relatif aux droits économiques et sociaux, civils et politiques (1966), aux dispositions théoriquement contraignantes pour les pays signataires, la Déclaration universelle des droits de l’homme demeure un phare, une référence, la promesse d’un monde plus juste.
© La Poste – Jean-Yves Le Naour


D’après le communiqué de presse de Phil@Poste 
Mis à jour le 16/03/2023 à 19h43
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Debarquement
Carte cliquable D’après Wikipédia
Mis à jour le 16/03/2023 à 19h41
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Louis-Marie Grignion de Monfort Louis-Marie Grignion de Monfort, né le 31 janvier 1673, à Montfort, en Bretagne (France) et décédé le 28 avril 1716, à Saint-Laurent-sur-Sèvre, (France), est un prêtre français et fondateur de deux congrégations religieuses la Compagnie de Marie (Pères Montfortains) et des Frères de l'instruction chrétienne de Saint-Gabriel.
Représentant majeur de la seconde génération de l'École française de spiritualité il a été canonisé en 1947 par Pie XII. Liturgiquement il est commémoré le 28 avril.

D’après Wikipédia 


Mis à jour le 16/03/2023 à 13h00
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Né à Rennes le 31 octobre 1889 - Mort à Corbigny (Nièvre) le 15 janvier 1934.

Noguès Aviateur, pionnier de l'aviation commerciale internationale, pilote à la Franco Roumaine où en 1922 il réalisa la première liaison commerciale Bucarest-Constantinople-Ankara, puis chef pilote de cette compagnie en 1923, il ouvrit le service postal France-Indochine en 1930. Il créa Air-Orient en 1926.
Il meurt le 15 janvier 1934 lors du crash du Dewoitine D.332 "L'Émeraude" à Corbigny (Nièvre) dont il était l'un des passagers
Dix personnes, passagers et membres de l'équipage, dont le gouverneur général français de l'Indochine Pierre Pasquier sont tués . Ce avion, construit en un unique exemplaire, venait d'établir lors de son vol aller le record de vitesse entre Paris et Saïgon.
Voir le récit de cet accident sur Wikipédia

Timbre émis à l´occasion du 20ème anniversaire de la ligne Paris-Saïgon.

Mis à jour le 16/03/2023 à 12h54
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Née à Saint-Denis (Ile de la Réunion) le 15 juin 1848, Juliette Dodu arrive en métropole à l'âge de 16 ans. Le 20 septembre 1870, alors qu'elle est directrice du bureau télégraphique de Pithiviers, les Prussiens investissent la ville et s'emparent du télégraphe. Juliette Dodu aurait intercepté les dépêches des Prussiens pour les communiquer aux autorités françaises ; elle aurait ainsi permis de sauver la vie de 40 000 soldats. Arrêtée par les Allemands à la suite d'une dénonciation, elle est condamnée à mort, puis graciée et libérée lors de l'armistice.
Décorée de la Médaille militaire en 1877, faite Chevalier de la Légion d'honneur en 1878, cette postière, espionne française, est la seule femme de France qui possédait les deux décorations du soldat.
Elle meurt le 24 octobre 1909 chez son beau-frère, le peintre Odilon Redon à Clarens (Suisse).

Juliette Dodu Un récit controversé

Si le décret n°1942 du 8 décembre 1870 lui accorde une mention honorable, ainsi qu'à vingt autres employés et agents du service télégraphique - car des employés des Postes furent utilisés pour aider l'armée dans l'usage du télégraphe -, cette mention a été transformée administrativement en médaille de guerre pour Juliette Dodu en 1877.

En 1873, Juliette Dodu est responsable du bureau télégraphique d'Enghien-les-Bains, où elle fait la connaissance du patron du Figaro, Hippolyte de Villemessant. Le 26 mai 1877 paraît dans ce journal, la première version connue de la légende Dodu. Le Courrier du Loiret (journal de Pithiviers) a consacré un dossier à Juliette Dodu, en 1984 (on en trouve une copie à la bibliothèque de Bièvres). Selon son auteur, "l'épouse du maréchal de France (président Mac-Mahon) était une féministe convaincue. Il n'est pas impensable que le texte de la nomination de Juliette Dodu dans l'ordre de la Légion d'honneur, l'ait été sur son intervention".

Thèse reprise par Guy Breton dans son ouvrage Les Beaux mensonges de l'histoire, toute l'histoire de Juliette Dodu ne serait en fait qu'une fable montée de toutes pièces par le journaliste du Figaro qui signait Jean de Paris dans un article du 26 mai 1877, agissant pour M. de Villemessant, son directeur. Effectivement ce n'est que sept ans après les faits que l'on entend parler de Mme Dodu. Guy Breton cite en référence le général Aurelle de Paladines, commandant en chef de l'armée de la Loire, qui ne mentionne nulle part cet héroïque sauvetage de son armée. Le lieutenant-colonel Rousset, auteur d'une Histoire de la guerre Franco Allemande 1870-1871, n'y fait nulle référence, alors qu'il fourmille de détails allant jusqu'à l'épaisseur de la neige ou l'état du ciel. Pas plus que le rapport de M. Steenackens, directeur des Postes et Télégrammes de l'époque, qui décrit tous les actes de résistance de ses employés durant cette guerre.

Guy Breton explique aussi les incohérences de ce récit épique ; entre autres que les Prussiens avaient quitté Pithiviers trois semaines avant les faits relatés, et l'impossibilité de capter au son un message chiffré en langue allemande et passé en Morse puis les retransmettre sans erreur. Ce qui suppose une grande connaissance non seulement de la langue mais aussi des codes militaires prussiens. De plus, personne ne possédait à Pithiviers les codes prussiens.

Il n'y a pas non plus trace de la condamnation à mort de Juliette Dodu ni de sa grâce. Ce qui amène l'auteur à s'interroger sur une possible mystification de M. de Villemessant qui obtint la Légion d'honneur pour une fausse héroïne à une époque où, juste après la Commune, la France qui venait de perdre l'Alsace et la Lorraine et de se déchirer lors de la Commune de Paris avait tant besoin de héros positifs.
Controverse extraite de Wikipédia 
Mis à jour le 16/03/2023 à 12h53
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les transmissions

Dans les armées, les transmissions, « l'arme qui unit les armes », forment l'arme de l'Armée de terre spécialisée dans la mise en œuvre des systèmes d'information et de communication (SIC) militaires.

D’après Wikipédia 
Mis à jour le 16/03/2023 à 12h41
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